“Alternatives” et… avidités
Depuis que le monde existe, des “alternatives” comme on dit aujourd’hui, ce n’est pas ce qui a manqué. Difficile de juger de leurs valeurs, puisqu’elles ont toutes été trahies, déformées, défigurées même.
Aujourd’hui, sur de multiples plans, pas mal de gens travaillent à “monter” ou “crédibiliser” - et même à vivre ! - des “alternatives” au “capitalisme”.
Ces alternatives sont la plupart du temps intéressantes, cohérentes, sans doute applicables. Reste à savoir s’il peut y avoir une humanité qui en veuille et n’en détourne pas ici l’esprit, là la lettre, comme cela arrive à chaque fois pour les meilleures idées.
Pierre Rabhi définit le capitalisme comme l’avidité érigée, mise en système.
C’est la meilleure définition que j’ai trouvée !
En découle que ce n’est pas tant d’un “bon système” dont l’humanité et chacun de nous a besoin, mais bien prioritairement de vaincre ses avidités (la profitation) !
Dans cette véritable renaissance humaine - en pleine conscience et volonté d’amélioration, nul doute que les peuples reprendront, adapteront, réinventeront et en tout cas trouveront les solutions matérielles, concrètes les plus équitables,
sans même en faire tout un système.
[ également publié en article sur LePost :
http://www.lepost.fr/article/2009/03/26/1472218_les-meilleures-alternatives-du-monde-ne-changeront-pas-le-monde_1_0_1.html
et en billet sur anarchieevangelique :
http://anarchieevangelique.wordpress.com/2009/03/26/alternatives-et-avidites/ ]
Depuis que le monde existe, des “alternatives” comme on dit aujourd’hui, ce n’est pas ce qui a manqué. Difficile de juger de leurs valeurs, puisqu’elles ont toutes été trahies, déformées, défigurées même.
Aujourd’hui, sur de multiples plans, pas mal de gens travaillent à “monter” ou “crédibiliser” - et même à vivre ! - des “alternatives” au “capitalisme”.
Ces alternatives sont la plupart du temps intéressantes, cohérentes, sans doute applicables. Reste à savoir s’il peut y avoir une humanité qui en veuille et n’en détourne pas ici l’esprit, là la lettre, comme cela arrive à chaque fois pour les meilleures idées.
Pierre Rabhi définit le capitalisme comme l’avidité érigée, mise en système.
C’est la meilleure définition que j’ai trouvée !
En découle que ce n’est pas tant d’un “bon système” dont l’humanité et chacun de nous a besoin, mais bien prioritairement de vaincre ses avidités (la profitation) !
Dans cette véritable renaissance humaine - en pleine conscience et volonté d’amélioration, nul doute que les peuples reprendront, adapteront, réinventeront et en tout cas trouveront les solutions matérielles, concrètes les plus équitables,
sans même en faire tout un système.
[ également publié en article sur LePost :
http://www.lepost.fr/article/2009/03/26/1472218_les-meilleures-alternatives-du-monde-ne-changeront-pas-le-monde_1_0_1.html
et en billet sur anarchieevangelique :
http://anarchieevangelique.wordpress.com/2009/03/26/alternatives-et-avidites/ ]