Bonjour à tous,
Comme un bon nombre de personnes ici, je me suis inscrit suite à une invitation via le réseau social par excellence sur le Net, pour ne pas le citer : Facebook. J'ai alors commencé à lire les différents articles et communiqués et me suis senti concerné par les revendications, ou du moins les critiques prononcées.
Je pense déjà ce mouvement tourné vers l'avenir ou du moins ancré dans les moeurs de la nouvelle génération, porteuse d'avenir. Internet, que j'utilise comme beaucoup de jeunes (ou pas ...) de nos jours est véritablement un outil, qui je pense peut encore être exploré dans ses fonctions. Je vous félicite donc pour votre initiative, de porter ce mouvement et ses revendications à travers le net.
Aussi, je me suis de suite senti concerné par cette envie de rassembler "tout le monde", personnes concernées et touchées par la crise, personnes victimes de la politique menée. Etant étudiant de 16 ans en Seconde, vous pourriez dire que mes revendications n'ont aucun sens ou ne sont que pacotilles, portées par des pulsions révolutionnaires, mais je ne pense pas. Au contraire, la politique d'éducation à laquelle je m'intéresse car concerné est le reflet de la politique globale que mène le gouvernement face à la crise : économies, économies. En voyant les destructurations ou les plans massifs de licenciements, je ne peux qu'être sensible.
Pour autant, je n'adhère pas aux syndicats lycéens qui sont trop politisés et parfois je pense fermés à toutes réformes possibles ; or je pense que des réformes concernant le lycée seraient bonnes ...
Bref, je suis donc un lycéen de 16 ans, breton, avec déjà je pense des convictions politiques, et engagé à ma façon lorsque l'heure est grave. J'étais d'ailleurs présent dans les rues de Quimper ce 19 mars et aussi pour la défense de l'hôpital de CARHAIX, victime d'une politique de santé encore inégalitaire. Suite à ces manifestations persistentes (tous les jours pendant plusieurs moi) devant préfecture, sous-préfecture ou d'autres lieux symboliques, l'hôpital a pu retrouver ses services alors menacés devant la justice.
Voilà dit, j'espère pouvoir m'engager dans ce mouvement et vous souhaite une bonne soirée
Comme un bon nombre de personnes ici, je me suis inscrit suite à une invitation via le réseau social par excellence sur le Net, pour ne pas le citer : Facebook. J'ai alors commencé à lire les différents articles et communiqués et me suis senti concerné par les revendications, ou du moins les critiques prononcées.
Je pense déjà ce mouvement tourné vers l'avenir ou du moins ancré dans les moeurs de la nouvelle génération, porteuse d'avenir. Internet, que j'utilise comme beaucoup de jeunes (ou pas ...) de nos jours est véritablement un outil, qui je pense peut encore être exploré dans ses fonctions. Je vous félicite donc pour votre initiative, de porter ce mouvement et ses revendications à travers le net.
Aussi, je me suis de suite senti concerné par cette envie de rassembler "tout le monde", personnes concernées et touchées par la crise, personnes victimes de la politique menée. Etant étudiant de 16 ans en Seconde, vous pourriez dire que mes revendications n'ont aucun sens ou ne sont que pacotilles, portées par des pulsions révolutionnaires, mais je ne pense pas. Au contraire, la politique d'éducation à laquelle je m'intéresse car concerné est le reflet de la politique globale que mène le gouvernement face à la crise : économies, économies. En voyant les destructurations ou les plans massifs de licenciements, je ne peux qu'être sensible.
Pour autant, je n'adhère pas aux syndicats lycéens qui sont trop politisés et parfois je pense fermés à toutes réformes possibles ; or je pense que des réformes concernant le lycée seraient bonnes ...
Bref, je suis donc un lycéen de 16 ans, breton, avec déjà je pense des convictions politiques, et engagé à ma façon lorsque l'heure est grave. J'étais d'ailleurs présent dans les rues de Quimper ce 19 mars et aussi pour la défense de l'hôpital de CARHAIX, victime d'une politique de santé encore inégalitaire. Suite à ces manifestations persistentes (tous les jours pendant plusieurs moi) devant préfecture, sous-préfecture ou d'autres lieux symboliques, l'hôpital a pu retrouver ses services alors menacés devant la justice.
Voilà dit, j'espère pouvoir m'engager dans ce mouvement et vous souhaite une bonne soirée